STEREO SPACE CONCERTO

Composition : 2006
Durée : 21’ – piano & ensemble  (12) –

Effectif : Piano, 2 fl, 1 cl,2 cr, 2 perc, 2 alt, 2 vlc, 1 cb
Dédicataire : Dimitris SAROGLOU
Commanditaire : TM+
Création : 18, 19.05.2008, Nanterre et St-Denis-le-Ferment, TM+, Dimitris SAROGLOU, dir. Laurent CUNIOT
Éditeur : Artchipel

Presse

Stereo space concerto par Dimitris Saroglou TM+

“Nous nous sommes rencontrés avec Suzanne Giraud il y a presque 30 ans, dans les mêmes classes de piano et de direction d’orchestre. L’amitié et les échanges musicaux ont toujours été présents pendant cette période. Je connais presque toutes ses pièces, j’en ai déjà joué plusieurs et créé notamment Zéphyr pour piano, une pièce consistante, très belle et très virtuose. Pourtant, l’expérience de Stereo Space Concerto est nouvelle pour moi. Avec Laurent Cuniot (chef de TM+), nous avons été à l’origine de l’idée de cette création en passant commande de ce concerto à Suzanne. Ensuite, j’ai suivi de près toutes les étapes de la création, du choix de l’effectif orchestral, jusqu’à la proposition de la cadence improvisée (car il y en a une). J’ai l’impression de connaître parfaitement l’écriture de Suzanne, et réciproquement, je crois qu’elle-même connaît parfaitement mon jeu pianistique et mon tempérament musical. Je crois que ces éléments, ajoutés au talent de Suzanne, sont les ingrédients nécessaires pour faire une pièce formidable. La création de ce concerto est pour moi un moment phare…”
Dimitris Saroglou, pianiste

Stereo space concerto par ConcertoNet

“…l’œuvre installe le piano au centre de deux ensembles symétriques formés de six musiciens chacun, mais au-delà de cette occupation originale de l’espace, c’est le concept même de «concerto» qui est profondément reconsidéré, notamment dans les deux premières des quatre sections de ces vingt-deux minutes jouées sans interruption. Car si le soliste demeure certes l’élément essentiel du dispositif, c’est moins en tant que vedette se livrant à des prouesses que comme déclencheur d’événements…”
Simon Corley – lire l’article sur ConcertoNet –